La folie, c'est comme le café : meilleur en grains.
Penser à planter ces grains là sur des terres d'ailleurs, des déserts fertiles, des rivières affolées auxquelles rien ne résiste, surtout pas les raisonnables.
Ceux là, gardons nous en. Ils ne savent planter que des limites.
Ne plus jamais être maussade.
Sauf quand j'en aurai envie.
Se méfier des auxiliaires, ils n'ont rien de supérieur.
Etre, avoir...
Ces deux là, toujours dans le paraître. Pour demeurer ? Plutôt rester, il me semble.
Sans la grammaire, que vont-ils devenir ?
Pâtisser en force. Claquer des beignets avec volupté, à grand bruit sec sur les joues-bajoues de tous les fâcheux.
Y'a du boulot, j'ai déjà les doigts qui chauffent.
Lire l'avenir dans une mare, mais pas de café. Ce serait du déjà vu.
Scruter l'horizon, pour le plaisir de répondre à un quelconque "kestufous" mollement articulé par un vacancier huileux : "Je scrute".
Sa perplexité... elle peut bien l'occuper deux minutes. Mais si.
Le nivellement par le bas n'a pas que du mauvais, se dit l'amateur de lingerie fine.
Quand on se met en colère, nos désordres sont des ires.
Demandez aux cruciverbistes
La folie c'est comme le café...