La périophyte, du fait qu’elle se nourrit de radioles, a du mal à se développer sur terrain infravibratile, peu propice à l’accueil des hyalosiludacées dont elle fait partie (bien que la classification tertiaire des éphlangylées dite « Classification de Théodrose Plet » ne le mentionne pas).
Ses branchules supérieures attrapent l’oxygène à grands renforts de rudosipons étoilés aux délicats périciles stupalophores, ce qui lui permet de restituer la quasi-totalité de l’oxyérat qu’elle absorbe ; bienfait absolu pour les tympanistilles radicatosiques qui dépendent de son existence complexe.
Vous aurez compris que ce fonctionnement atoponique est bien évidemment celui de tout extamine sous—apolide, je ne m’étendrai donc pas.
Cette grande délicate dispose par ailleurs dans son praxitole droit d’une abondante réserve de burloses ce qui explique la couleur mordorée si particulière de son axymène subspinorique, sujet du prochain cours : mais nous en resterons pour l’instant, si vous le voulez bien, au basique.
Le mécanisme élaboré de ses épilettes arcadiennes en font n’en doutez pas un organisme exceptionnel, objet depuis longtemps des études passionnées de tout éphradologue respecté.
Enfin, nous terminerons sur les apoxines bien connues de ses efflidores à oreillettes, organes reproducteurs internes dont les épolyanes bleues dotées d’oractiphènes vibrants rendent sa plourinette très difficile d’accès à des insectes pollinisateurs tels que le Gralanouille du fraisier.
D’où la rareté de la périophyte.
Merci pour votre attention.