Nommez vous - La nuit en couleurs

23 Novembre 2016

By Joelle pétillot

Désorientable À merci La ligne de suite est sans fin Elle trace Quelle émergence au coeur de nuit, quelle fraction, je ne sais pas. J'en compte un si grand nombre Alors que je n'ai pas encore vieilli. La route me dévore, elle ne m'attend plus. Le temps...

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LE CONTRE HASARD CHERGUI Par Charlotte LEBECQ. Cette histoire est celle d’une cité ocre et blanche, posée en plein désert comme un bijou sur du sable. Des maisons aux murs épais protégeaient les habitants. Dès les lourdes portes franchies, on se sentait...

Chergui /Catherine Dutigny La cause littéraire

« Cette histoire est celle d’une cité ocre et blanche, posée en plein désert comme un bijou sur du sable ». Ainsi commence Chergui, le dernier livre de Joëlle Pétillot. Sous la réverbération étourdissante de la lumière méridienne, une veuve, revenant...

Chergui, vu par Mare Nostrum

Et si le sommeil n’était pas une fuite, mais une révolte ? Dans "Chergui", Joëlle Pétillot explore une cité figée dans la torpeur, où chaque rêve devient un acte de résistance. Là, une femme refuse l’époux qu’on lui impose. Ailleurs, un vieil homme retrouve...

Troll de drame

Bien peu cher toi Je te tutoie, pourtant je déteste cela avec des inconnus. Mais il est des gens qui ne forcent pas le respect. Non pas que tutoyer soit irrespectueux en soi ; seulement, le « vous », pour toi, ne me semble pas de mise. Vois-tu, cela reviendrait...

J'emporte

L'été, tout jeune alors. Mes deux du levant leur main oiseau chacune sur l'épaule de l'autre. Le regard de la grande survit à tous les autres lorsqu'il s'adresse à la petite. J'emporte. Elles parlent une autre langue qui danse sur les pierres dresse vers...

Le nom d'un vent dans le désert...

Outre-ciel

Il pleut de la nuit sur les choses. Le regard perd le toit, le clocher, le pont, l’eau claque en rafale d’éclairs, les lumières griffées ne déchirent rien, surtout pas l’obscurité d’un jour qui ne porte plus son nom. L’orage efface, strie, ricane ; plus...

Portrait à la soeur perdue

Tu es une voix perchée sur mon épaule cet oiseau qui pointille le figuier d’une branche à l’autre impressionniste qui s’ignore mais que je sais, moi… tu es ce rire reconnaissable puisqu’il survit dans le mien mémoire rasoir tu es ce surnom donné jumelle...