Aux grillons qui s’invitent
la nuit d’été pâlie d’étoiles
la tache de soleil qui lève le chagrin
au regard où pas un atome ne ment
aux rêves assignant le matin pour mieux s’y perdre
je demande
que la paix soit ici
et que la lumière
magnanime
dépose sur la pierre un sang de vitrail.