Non, ta voix de papier n'a pas fait des cendres de nous ... Et oui, ton poème est ailé comme la feuille de papier à laquelle il fait écho... Touché par ces mots d'énigme et de mélancolie ... Dieu, comme nos cœurs sont gros, quand viennent les crues de l'automne ! Et que c'est bon de sentir les sanglots gonfler en nous comme l'eau vive d'un vin nouveau !
Ah, le voilà donc, ce fameux rebond. Merci Alain !
C
Clément G. Second
19/11/2018 12:55
Tout m'y touche, et dès le titre. Et je reçois tout de ce texte fort, beau, quoique échappant un peu à ma lecture "borgne". Mais accueillir même sans tout saisir, n'est-ce pas cela au fond, lire ?
Tout m'y touche, et dès le titre. Et je reçois tout de ce texte fort, beau, quoique échappant un peu à ma lecture "borgne". Mais accueillir même sans tout saisir, n'est-ce pas cela au fond, lire ?