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L'or sur le verre

L'or sur le verre

 

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C
Mon impression est qu'ici la retenue fait que le dit poétique s'évanouit dans son émanation même. Suspension puis fugacité participables !
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J
Fugace, un bien joli mot, qui fugue et passe. merci Clément. <br />
C
Lire tes mots et puis les balancer entre mes pensées.
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S
Rien n'est indicible quand la lumière persiste à nous interroger. Les pourquoi bruissent sous nos pas.
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J
En laissant un bruit de feuilles sèches, oui. Merci Suzâme.<br />
A
"Faille crépusculaire" et "Quand l'éclair passe, son souvenir dure plus que lui".<br /> Je ne sais comment tu fais pour trouver une alliance de mots si juste que l'image s'impose.<br /> Merci Joëlle :-)
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J
Moi non plus je ne sais pas. Il ne faut pas que je le sache, d'ailleurs ;-))) A bientôt Amélie.
A
LUMIÈRE AVANT LA NUIT<br /> Ton texte a la tristesse de Schubert, ce "cadavre des couleurs" semble un renoncement. Toi qui, toujours, semble dire : "Même pas mal", j'entends comme un sanglot, là. Mais le plus admirable "Quand l'éclair passe, son souvenir <br /> dure plus que lui" ... C'est du Schubert en mots. Merci d'avoir ainsi fredonné la nuit.
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J
"Fredonné la nuit"... Être commenté par vous est un privilège, cher ami. Merci pour cette sensible (et juste) lecture.
M
Toujours à vous lire, je ne sais quel écho en moi. Merci
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J
Un merci de plus, Mireille...
C
J'adore... merci pour ce kintsugi dans mon crépuscule...
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J
Mais de rien, Christina. Toujours contente de te croiser.