Il y aurait un lac délivré des cris les chants ne l’atteignent jamais dont la profondeur est vertige un lac froid sous la peau des hommes une tourbe où les pas s’impriment un lac dont la surface attire les reflets l’oiseau traqué la feuille endormie d’automne...
Lire la suiteD’ordinaire, ces grandes hontes émergent d’une brume ancienne, une-ou-deux minuscules-décennies-plus-tôt, autant dire deux jours en temps-de-Joëlle, vu ma notion du rapport au temps plutôt… personnelle. (Cf Grande honte n°15, Rapport au temps, tantan......
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