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R
Ah que tu dis bien la poésie de la mémoire ! comme j'aimerais parfois oublier ! Nous sommes condamnés à nous souvenir, et parfois il y a du bon à cela. Et comme Marie-cé il faut apprécier ce qui est bon, beau.
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M
Je crois surtout que nous sommes des présences que l'on - la société - s'évertue à étouffer... C'est pourquoi, il faut regarder, sentir, entendre, apprécier et se souvenir, surtout se souvenir pour respirer. C'est ce que j'essaie de faire, là en l'occurrence.
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J
Merci Marie-Cécile. Et il suffit d'aller dans tes images pour savoir que tu y parviens.
N
"Nous sommes des absences qui respirent"... Oui, c'est cela. Notre présence au monde est problématique et ton texte le dit très très bien. Plein de mélancolie évanescente. Ou de mélancolique évanescence... Es-tu vraiment si "accoisée" que tu sembles le dire? Quand on dit, puisqu'on dit, on ne reste pas si "coi" que cela, pas vrai?...
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S
Vous, qui outrepassez sans m'entrevoir...sauriez vous si on prend cher pour recel de luxure?
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B
Comme ta poésie repose dans le linge sale des anathèmes en tout genre de ces jours nuits
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B
J'ai juste oublié un point d'exclamation à mon commentaire , ce qui change tout le sens. <br /> En effet ce n'est plus la poésie qui se repose dans le linges sale... ce qui ne veut rien dire mais la poésie qui nous repose (enfin qui me repose) du linge sale....<br /> "Comme ta poésie repose, dans le linge sale des anathèmes en tout genre de ces jours nuits!" voilà c'est fait!