Posé dans l’oblique du soir, il y a cet or presque rouge qui pointille les hauteurs, toits ou falaises. Un silence, celui qu’on reconnaît à la netteté des choses, au froid des contours. La mer a monté, les bateaux oscillent sur une absence, celle du vent....
Lire la suiteAux grillons qui s’invitent la nuit d’été pâlie d’étoiles la tache de soleil qui lève le chagrin au regard où pas un atome ne ment aux rêves assignant le matin pour mieux s’y perdre je demande que la paix soit ici et que la lumière magnanime dépose sur...
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