Ces enfants qui courent (jolie photo !) alors que la chaleur nous terrasse, ces pesanteurs, ces senteurs, par petites touches efficaces et subtiles, tu as peint le tableau de l'été et des garrigues ...
Vous lisant... vous me parlez d'une enfance dont le feu solaire, la terre âpre (hmmm son parfum après l'averse !), l'intensité des éléments et des êtres me sont restés sous la peau. Nostalgie ? Aucune. Tout cela que je porte fait corps avec mon âge. C'est là. Ce soir pourtant vos lignes le ravivent,car vous avez la connaissance du sentir vrai. Joëlle, comme je vous en remercie. Cl.